Quel (éventuel) vacciné contre le Covid êtes-vous ?
La solution vaccinale pour le Covid-19 suscite à la fois engouement et méfiance. Début avril 2021, 15% de la population française a reçu une première injection des vaccins autorisés : Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Janssen J&J. Pour connaître votre profil de vacciné (éventuel), faites le test !
Selon vous, la qualité des vaccins ne fait aucun doute. Les effets secondaires sont au pire une forme atténuée du Covid-19. L’aspirine en comparaison est bien plus dangereuse. Vous vous dites prêt à vacciner vos enfants s’il le faut. D’ailleurs, si le taux de 50% de vaccinés n’est pas atteint, il faudra le rendre obligatoire ! « Le devoir moral de ne pas empêcher l’immunité collective doit primer sur le droit de contrôler notre propre corps. » L’auto-détermination ? La liberté de disposer de son corps ? Une fois vacciné ! Seules les personnes ayant reçu la piqûre pourront retrouver les lieux une fois ré-ouverts.
Au pays de Pasteur, les antivax devraient avoir honte ! Irrationalistes, anti-humanistes et même conspirationnistes, ils rejettent tout en bloc – et ça vous irrite. « La médecine vaccinale est […] la meilleure », c’est une « intelligence rusée », une « métis » en grec, qui prévient « le mal par le mal en le retournant en bien ». L’opposition entre un homme prométhéen et un homme prédateur face à la nature est simpliste. Elle pousse les antivax à craindre le remède plus que la maladie. C’est pourquoi imposer le vaccin serait une erreur qui accentuerait leur méfiance.
Le vaccin est un devoir. Toute réticence vous dépasse… C’est sans aucun doute un manque d’information de la part des réfractaires ! Or les nouvelles biotechnologies offrent des « possibilités médicales extraordinaires ». Les vaccins à ARNm, fruits de l’épigénétique, sont l’aube d’une révolution. Des incertitudes demeurent pourtant. Car les facteurs épigénétiques sont transmissibles à la descendance. Mais l’humain est plastique : il faut donc en développer les potentialités.
Les contrats signés par les États avec les laboratoires sont trop opaques. Et ils semblent avoir été mal négociés, avec des gouvernements qui s’inclinent devant la voracité de Big Pharma. En dépit d’analyses de risques sur ces nouvelles techniques vaccinales de thérapie génique, vous appliquez le principe de précaution. Les vaccins OGM, expérimentaux mais testés à grande échelle, pourraient avoir des conséquences bien plus dramatiques pour la nocivité des variants futurs… Ces techniques ont une incidence sur l’environnement. Or, justement, la biodiversité disparaît sous l'activité humaine. Elle ne peut plus « diluer » les virus. Il faut donc d’urgence repenser les liens avec le vivant pour prévenir les pandémies futures !
Ces nouvelles biotechnologies vaccinales sont un produit de la start-up nation pour calmer les esprits. Dans l’ordre de la « Pandémie », qui permet au gouvernement de s’affranchir des règles démocratiques, toute résistance à la vaccination est taxée de complotiste. Les hôpitaux et les lits sont fermés en résultat de politiques publiques scandaleuses, les populations infantilisées, la loi climat vidée, la recherche muselée, et la question du soin, aux abonnés absents ! Or, nous vivons une syndémie et non une pandémie. Tout le monde n’est pas touché par le nouveau coronavirus. Ce sont donc les facteurs de co-morbidité qu’il faut atténuer, par le soin et non par la « guerre ». Que cette gestion dramatique soit l’occasion d’un réveil démocratique !
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