Le bâti et l'urbanisation créent des phénomènes d'îlots de chaleur. Cela rend les canicules encore plus insupportables en ville. Le nouveau rôle assigné à l'architecte est désormais aussi de rafraîchir la ville.
Avez-vous vraiment en tête toutes les solutions pour cela ? Pour tester vos connaissances, faites ce quiz.
... est due principalement à quel phénomène ?
(îlots de chaleur urbains) fait qu'il y a une différence de 3 à 4°C entre Paris et sa périphérie en moyenne, l'été. En période de canicule, cette différence passe à 8°C et un autre phénomène vient pénaliser les seuls citadins : la température baisse moins la nuit en ville !
... sont une solution pour baisser la température.
... pour faire baisser de 1 à 2°C la température moyenne d'une ville comme Toronto (ce qui est considérable : songez à l'augmentation moyenne de 1 à 2°C de la température mondiale due au réchauffement climatique dont on parle souvent et qui représente tout l'enjeu du combat actuel contre l'effet de serre), pour une telle conquête donc, il faudrait végétaliser :
... peut aussi avoir un effet sur la température en ville
... ce qui a pour effet de transformer celui-ci en machine à réchauffer la ville l'été...
... pour la maintenir verte, il faut beaucoup d'eau. Donc, en période de sécheresse, on n'obtient pas toujours l'effet recherché. Il faut le savoir.
... en effet, sur des toits en pente, l'eau ruisselle sur les pentes et seuls les végétaux du bas sont arrosés comme il faut. En période de sécheresse, ce phénomène limite l'évapo-transpiration des plantes à la partie inférieure d'un toit en pente, ce qui réduit l'impact de 30% en moyenne.